lootus

nadzieja

Jeudi 3 juin 2010 à 21:47

   Le coeur au bord des lèvres, l'estomac qui fait des loopings, le morale dans les chaussettes.
   Je l'ai fait. Je l'ai fait. Je l'ai fait. Tant de choses ont changées depuis le mois d'avril. Je lui ai parlé. Il me connaissais d'avant cela dit. Il m'avais vue. Il m'avais reconnu. Moi. Parmi tous ces gens. Moi. Pas une autre. Depuis on se parle. On discute. Au moins une fois par semaine. C'est peu. Mais ça me suffit. Sauf en ce moment. Il est avec sa copine. Toute histoire a une faille. La mienne c'est celle là. L'existance, maintenant prouvée de sa copine. Et oui monsieur est amoureux. Comme quoi on ne peux pas tout avoir. Le beurre, l'argent du beurre, la craimière. Lui, il a déjà la craimière donc bon. Il ne vas pas trop en demander non plus. Mon problème est là. Je suis naïve. Je me disais qu'en lui parlant je me rendrais compte qu'il n'est pas du tout comme je l'avais imaginée. Que comme toujours un fantasme doit en rester un, rien de plus, rien de moins. Mais non. On m'a tellement mise en garde contre lui, on l'a tellement critiqué devant moi que je n'avais pas une image si formidable que ça de lui. Une image faussée. Comme je m'en doutai. Mais pas dans ce sens. Il est mieu que ce que je pensai. Je le trouve gentil, simpas, drôle, intelligent, beau. En gros tout a fait le genre de type avec qui je ne fini jamais. Triste ironie de la vie. Son comportement est toujours le même. On discute juste. Il n'est pas au courant de ma légère attirance pour lui. Elles, elles continue de me dire qu'il me regarde toujours en coin, il écoute mes conversations quand je ne lui parle pas, qu'il me sourie toujours bizarement. En gros je me racroche à ce que je peux, tout en sachant que ce n'est pas possible. En parlant de son sourire, maintenant je sais les distinguer tous, ou presque. C'est pathétique quand même. Je reconnais le sourire géné, l'ironique, le sincère, le timide, le "je suis content d'être là"... le "je t'éblouie" aussi appelé le sourire colgate. Alors celui là c'est tout bonnement... Bref, on se calme, on se recentre. Il a une copine, il est amoureux. Je me répète cette phrase en boucle tel un mantra. Il faut que je me fasse une raison. Quoi que je m'en fiche, je veux quand même le garder un peu avec moi, même si ça ne dépasse jamais ce stade. Juste lui parler. Toujours les même bétises. Lui parler, le découvrir, même si ce n'est que ça. L'inéxistance de ma vie sentimentale est toujours aussi palpitante.
   C'est comme l'autre là. Un pote. Je l'aime bien. Il est amoureux lui aussi. Il l'aime elle. Elle l'aime lui. Mais a cause de plusieurs complications fort palpitante, ils ont le droit de faire ce qu'ils veulent. Sauf que monsieur a appris qu'il me plais. Oh pas grand chose. Juste une petite attirance physique. Je ne vous apprend rien. Vous pouvez ne penser qu'a une personne il arrive aussi qu'une attirance physique passagère pour une autre personne arrive. Enfin il parait. Moi je découvre. Bref. Une légère attirance, rien de bien méchant. Il faut bien que mes hormones en manque d'amour se déchargent sur quelque chose. Ou dans le cas présent quelqu'un. Monsieur aurait décider que dans ce cas, on pourait assouvir nos pultions et soulager notre manque d'amour ensemble. Encore une situation comique qui se profile a l'horison. Pas pour moi. Pour les autres par contre c'est mieu que le cinéma. Mieu que la 3D (qui n'as aucun intéret selon moi).  Bref que de péripécie inexistante qui ne change absolument pas ma situation.
Je veux le voir. La voila ma situation. Je veux le voir. Je pourais peut être une fois avant la rentrée avec un peu de chance. Quand lui sera rentré. Quand il voudra repartir. Quand il ne pensera qu'a elle. Ou quand elle sera là. Misère. Pourquoi il a fallu que je tombe encore une fois sur un type innacessible? Pourquoi lui? Ma vie sentimentale n'est qu'une vaste blague. Quoi que si ça se limitait a ma vie sentimentale. Mais bon ce n'est pas le sujet. Bien que ça explique ma fixation sur celle-ci.
  
   Dans quatre jours résultat du second semestre. Tout ce qu'il me fallais je crois.


"Même au plus bas, même quand je me disais que tout était foutu, je t'aimais, comme si je te voyais, car si je ne te voyais pas, je savais que j'étais vue par toi." Abd el malik, l'alchimiste
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