lootus

nadzieja

Dimanche 6 juin 2010 à 19:21

    Je voudrais juste qu'il continu de m'attendre quelque part. Qu'il n'attende que moi. Même si ce n'est pas pour toutes ces conneries. Qu'il m'attende comme il l'a fait les dernières semaines. Qu'il me sourie quand il me vois arriver. Que ce soit pour moi et pour personne d'autres. Que ce soit avec moi qu'il ai rendez-vous. Que j'ai cette place, même minime dans sa vie. Que j'existe pour lui, tout simplement. Concrètement. Qu'il soit là pour moi.

Je voudrais juste qu'il m'attende quelque part.

Jeudi 3 juin 2010 à 21:47

   Le coeur au bord des lèvres, l'estomac qui fait des loopings, le morale dans les chaussettes.
   Je l'ai fait. Je l'ai fait. Je l'ai fait. Tant de choses ont changées depuis le mois d'avril. Je lui ai parlé. Il me connaissais d'avant cela dit. Il m'avais vue. Il m'avais reconnu. Moi. Parmi tous ces gens. Moi. Pas une autre. Depuis on se parle. On discute. Au moins une fois par semaine. C'est peu. Mais ça me suffit. Sauf en ce moment. Il est avec sa copine. Toute histoire a une faille. La mienne c'est celle là. L'existance, maintenant prouvée de sa copine. Et oui monsieur est amoureux. Comme quoi on ne peux pas tout avoir. Le beurre, l'argent du beurre, la craimière. Lui, il a déjà la craimière donc bon. Il ne vas pas trop en demander non plus. Mon problème est là. Je suis naïve. Je me disais qu'en lui parlant je me rendrais compte qu'il n'est pas du tout comme je l'avais imaginée. Que comme toujours un fantasme doit en rester un, rien de plus, rien de moins. Mais non. On m'a tellement mise en garde contre lui, on l'a tellement critiqué devant moi que je n'avais pas une image si formidable que ça de lui. Une image faussée. Comme je m'en doutai. Mais pas dans ce sens. Il est mieu que ce que je pensai. Je le trouve gentil, simpas, drôle, intelligent, beau. En gros tout a fait le genre de type avec qui je ne fini jamais. Triste ironie de la vie. Son comportement est toujours le même. On discute juste. Il n'est pas au courant de ma légère attirance pour lui. Elles, elles continue de me dire qu'il me regarde toujours en coin, il écoute mes conversations quand je ne lui parle pas, qu'il me sourie toujours bizarement. En gros je me racroche à ce que je peux, tout en sachant que ce n'est pas possible. En parlant de son sourire, maintenant je sais les distinguer tous, ou presque. C'est pathétique quand même. Je reconnais le sourire géné, l'ironique, le sincère, le timide, le "je suis content d'être là"... le "je t'éblouie" aussi appelé le sourire colgate. Alors celui là c'est tout bonnement... Bref, on se calme, on se recentre. Il a une copine, il est amoureux. Je me répète cette phrase en boucle tel un mantra. Il faut que je me fasse une raison. Quoi que je m'en fiche, je veux quand même le garder un peu avec moi, même si ça ne dépasse jamais ce stade. Juste lui parler. Toujours les même bétises. Lui parler, le découvrir, même si ce n'est que ça. L'inéxistance de ma vie sentimentale est toujours aussi palpitante.
   C'est comme l'autre là. Un pote. Je l'aime bien. Il est amoureux lui aussi. Il l'aime elle. Elle l'aime lui. Mais a cause de plusieurs complications fort palpitante, ils ont le droit de faire ce qu'ils veulent. Sauf que monsieur a appris qu'il me plais. Oh pas grand chose. Juste une petite attirance physique. Je ne vous apprend rien. Vous pouvez ne penser qu'a une personne il arrive aussi qu'une attirance physique passagère pour une autre personne arrive. Enfin il parait. Moi je découvre. Bref. Une légère attirance, rien de bien méchant. Il faut bien que mes hormones en manque d'amour se déchargent sur quelque chose. Ou dans le cas présent quelqu'un. Monsieur aurait décider que dans ce cas, on pourait assouvir nos pultions et soulager notre manque d'amour ensemble. Encore une situation comique qui se profile a l'horison. Pas pour moi. Pour les autres par contre c'est mieu que le cinéma. Mieu que la 3D (qui n'as aucun intéret selon moi).  Bref que de péripécie inexistante qui ne change absolument pas ma situation.
Je veux le voir. La voila ma situation. Je veux le voir. Je pourais peut être une fois avant la rentrée avec un peu de chance. Quand lui sera rentré. Quand il voudra repartir. Quand il ne pensera qu'a elle. Ou quand elle sera là. Misère. Pourquoi il a fallu que je tombe encore une fois sur un type innacessible? Pourquoi lui? Ma vie sentimentale n'est qu'une vaste blague. Quoi que si ça se limitait a ma vie sentimentale. Mais bon ce n'est pas le sujet. Bien que ça explique ma fixation sur celle-ci.
  
   Dans quatre jours résultat du second semestre. Tout ce qu'il me fallais je crois.


"Même au plus bas, même quand je me disais que tout était foutu, je t'aimais, comme si je te voyais, car si je ne te voyais pas, je savais que j'étais vue par toi." Abd el malik, l'alchimiste

Vendredi 2 avril 2010 à 21:10

     Perdue. Je suis perdue. Irrémédiablement et irrévocablement perdue. Jusqu'à ce que je m'en sorte. Rien n'est éternel. Je suis foutue. A cause de lui. Lui que je ne connais toujours pas. C'est ce qui est risible dans cette histoire. Le croiser, les regards ne me suffisent plus. Il me faut plus. Toujours plus. Entendre sa voix. Le toucher. Le découvrir. Lui. Tout ce qui est impossible. Tout ce qui n'arrivera jamais. Tout ce qui ne doit pas être.

      Cette histoire qui n'a pas commencer doit déjà finir. Pour mon bien. De toute façon je n'ai pas le choix. Les signes se trompes. Les autres se trompes. Cette fois c'est moi qui suis dans le vrais. Ca fait mal. J'aurais voulu autre chose. Savoir que c'est possible. Moi qui ne sais plus comment on fait. Moi qui cherche à retrouver tout cela. Lui qui me fait me sentir vraiment vivante pour la première fois depuis des années. Lui qui ignore cela. Je réapprend a vivre. Ca fait mal. J'avais oublier. Se sentir vivant. C'est pour cela que ça doit rester dans le domaine du rêve. Pour ne pas perdre cette sensation. Si je lui parle, je devrais me faire une raison. Cette raison que je refuse. Passer a autre chose. Réapprendre encore une fois. Je céde encore a la facilité. L'onirique. Le songe qui m'accompagne à chaque seconde. Je ne vis plus que de cela. Donc je ne re-vie pas vraiment. Je tourne en rond. Encore. Encore. Encore et encore.

      Lui a sa petite vie. Ses rêves. Ses envies. Ses joies. Ses peines. Ses amis. Ses emmerdes. Probablement sa copine aussi. Je ferme le yeux et je vois. Je vois une grande brune, souriante, discrète, calme. Et belle. Surtout belle. Tout ce que cette fille doit avoir. Et moi. Je me sens ridicule. Ridicule de penser ça. Ridicule de ressentir ça. Je n'est pas le droit. Cette obsession n'est pas normal. Pas saine. Elle vient de je ne sais où. Elle est là, présente à chaque secondes, chaque minutes qui passent. Oppressante. Enivrante.Latente. Poids lourd que je n'est pas demandé.

 
     "Tais-toi mon coeur, mon coeur c'est toi je croyais que tu t'étais tué"
Dionysos, "La mécanique du coeur"

Jeudi 28 janvier 2010 à 20:23

   Mon subconscient est un con, mon inconscient me fait chier, et mon conscient me bloque.
   Ca devient vaguement difficile a gérer tout ça. Le viking a raison, j'ai mauvaise mine. Je frôle la fatigue psychologique. Le viking a toujours raison, et ça c'est chiant. Ca veux dire que ce type est un con. Et ça, ça me fait chier.
   Je crois que le moment est venu d'appliquer le fameux dicton : "qui ne tente rien n'a rien".
Je vais encore y laisser des plumes!
 


"Il parait que l'amour, c'est un truc danguereux, que ça vas faire chialer tes jolies ptits yeux"

Jeudi 21 janvier 2010 à 22:42

          Une profonde envie de pleurer. Ca ne m'étais pas arriver depuis une éternité. Il m'aura suffit de peu aujourd'hui. Un début de journée merdique et le reste à suivit. Si je ne m'auto-sabotai pas toute seule aussi ça serait peut être plus simple. Il me manque. Pas comme mon amoureux mais comme mon ami. C'est ce qu'il est qui me manque, horriblement. Tout ce qu'il vit, je devrais le vivre avec lui. J'aurais dut être la aujourd'hui. Putain. Je ne devrais pas être jalouse. J'ai profitée de lui pendant sept ans. Je devrais déjà être heureuse d'avoir pu le garder avec moi aussi longtemps. Je n'en méritée pas tant. Mais non. Je veux qu'il reste avec moi. J'ai besoin de lui. Je suis égoïste. J'ai besoin de lui. C'est vicéral. Il m'arrive n'importe quoi; je pense à lui. Toujours à lui. A ce qu'il m'aurait dit. A ce qu'il aurait fait. A son sourire. J'ai besoin qu'il soit là. Qu'il me prènne dans ses bras. Qu'il me rassure. Qu'il me dise que j'ai fait les bon choix.  Qu'il est là. Qu'il me supporte raconter ma vie sentimentale. Que je puisse tout lui dire. Qu'il me dise que tout vas bien se passer. Même si c'est faux. Qu'il soit la. Qu'il supporte mes caprices. Qu'il soit toujours là. Comme avant. Comme avant. Mais ça n'arrivera pas. Ca n'arrivera plus. Je l'es perdu. J'avais le chois entre mon ami et mon amoureux. Je me suis plantée. Encore une fois. J'ai jouée. J'ai perdu. Je l'es perdu. Je suis égoïste.
           En même temps je n'ai pas le droit de lui faire subir tout ça. Pas le droit de lui dire qu'il me manque. Que j'ai besoin de lui comme il y a cinq ans. Comme il y a deux ans. Comme toujours. Je n'ai pas le droit de lui raconter comment je m'y prend pour saboter ma vie social. Ni pour ma vie sentimentale. Ni pour le reste. Pas le droit de lui dire que je déteste ce que je suis devenue depuis qu'on est plus ensemble. Depuis qu'il n'est plus là. Je ne peut pas lui dire que je devient une connasse égoïste égocentrique. Que je suis d'une éxubérance à toute épreuve. Que chaque jour mon comportement m'insuporte de plus en plus. Que je comprend qu'il ne veux plus me voir. Ou qu'il n'a plus le temps. Ou je ne sais quoi. Je n'ai pas le droit de lui parler de tout. De rien. De lui. Ce garçon qui me fait perdre la tête, le coeur, et les pédales. Je ne peut pas lui dire que je ne le regarde jamais, mais toujours ses potes, que je ne sais pas pourquoi. Qu'il me rend dingue au point que je me reconnais encore moins qu'avant. Je ne peut pas lui dire que je ne lui est pas parler parce que j'ai peur. Que j'ai peur qu'il me prénne pour une connasse égocentrique et hystèrique. Que j'ai peur qu'il ne s'arrète qu'à cette facade que j'ai mis en place face aux gens. Que j'ai peur de tout . Que malgré ma soudaine sociabilité j'ai peur. Peur de tout. Des gens. De la semaine. Des cours. Du weekend. Du soir. Du matin. De la nuit. D'être seule. D'être avec des gens. De mes amis. De moi.
           J'ai besoin de lui. Putain. Il me manque. Mais je n'ai pas le droit de lui dire. Il me manque. Mon ami. Lui. Ce qu'il est. Ce qu'il a représenté. Ce qu'il représente. Ce que j'étais pour lui. Ce que j'étais tout cours. L'époque de cette soit disant innocence qui n'a pas durée longtemps. Il me manque. Merde. Et c'est repartis, je redonne dans le sentimentalisme de bas étages. On dirait une ado pré-pubère qui fait se crise. Merde. Je ne suis pas ma soeur. Merde. Aller encore un coup pour la route. Merde.


 
"Elle pense que ce qu'elle appelle l'amour peut réussir l'impossible. Superstition sentimentale" Le roi se meurt Ionesco
 

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