lootus

nadzieja

Vendredi 22 octobre 2010 à 19:48


L'histoire semble se répéter...et ça, c'est pas cool.
                                                                              Mais pas cool du tout !
 

Vendredi 6 août 2010 à 1:02

J'ai dormis entre rue de l'étoile et rue de l'ange...

Dommage que je ne crois pas aux signes...

Mercredi 21 juillet 2010 à 3:20

Comme dirait Scarlett O'Hara "Je penserai à cela demain. Pour le moment je n'est pas le courage.Demain... En somme, à un jour prés..."
 
Pas le courage. Je ne veux pas penser. C'est plus simple comme cela. On verra plus tard. A l'heure où j'écris, j'ai je ne sais combien de gramme dans le sang. Ecrire devient difficile. La musique encore dans la tête. Le coeur trop lourd. Je ne sais plus quoi penser. Je ne veux pas penser. Je penserai demain. Quand j'aurai dormis plus de 2 heures. Quand tout ne foutra pas le camp dans ma vie. Quans je n'aurai plus d'alcool dans le sang. Quand je ne penserai plus à ce qu'on m'a dit. Et à ce que lui il m'a dit.  Demain. Si j'ai le temps, le courage, la patience, et ce je ne sais quoi qui aide a avancer. On verra plus tard. Pous l'instant c'est trop difficile. Tout est trop compliqué. Je verrai plus tard. Si je le veux...
 

Samedi 12 juin 2010 à 13:02

Amoureuse. Amoureuse? Non. Ce n'est pas possible. Amoureuse? Non. Je ne pense pas. Ce n'est pas logique. Mais l'amour n'a pas de logique. Amoureuse. Ce serait donc ça. Non. Je ne veux pas. Non. Non. Non.  Amoureuse. De lui. Et merde. Je suis tombée.

Il ne vas pas m'en vouloir de l'avoir planté au milieu du hall il y a trois jours? Oups...

J'aime pas l'amour. Pas de mains dans la mains, pas de toujours toujours. J'aime pas l'amour.
Olivia Ruiz. "J'aime pas l'amour".

Mardi 8 juin 2010 à 23:14

    Une cigarette. Un besoin. Comme celui de venir écrire ici de plus en plus souvent. Pour rien. Pour tout. Pour moi. Venir étaler mes sentiments. Ma vie sentimentale. Rien d'autres. Je reste dans les classiques. Que pourrais-je raconter sinon? Ma vie de famille? Non.  Ma vie d'étudiante? Non plus . Mes assoc? Toujours pas. Mes troubles voila ce que je raconte.  L'amour est un langage universel parait-il. Ici je met à plat. Je vois où j'en suis. Où je me suis perdue. Je me recentre. Je me regroupe. En même temps c'est moi. Ma vie. Je me raconte. Avec eux. A travers eux. L'un mon passé,ce que j'étais, mes regrets, ce à quoi je me raccroche, cette nostalgie. L'autre, mes hormones, comme tout le monde elles sont présentes, sans fondement mais présentes malgré tout. Et lui, presque mon coeur, ce qui s'en raproche le plus. Il est lié au premier, aux émotions perdues, c'est pour ça qu'il s'en raproche seulement. Presque c'est tout. C'est mieu que rien. Mon passé, mes hormone, mon coeur. La partie de ma vie que je ne comprend pas. L'ironie perpétuelle. Le premier attend de voir sa copine, les deux autres sont avec elles. Les trois habitent loin. Ironique.
    Une envie de cigarette, encore. D'alcool. De musique assourdissante.  De chansons d'amours. S'abrutir a la musique. De se rouler en boule sous sa couette. D'attendre. De vivre. De continuer. Envie d'amour.

Je ne voudrais pas creuver avant d'avoir usé sa bouche avec ma bouche, son corps avec mes mains, le reste avec mes yeux, j'en dit pas plus, faut bien rester révérentieux.
Boris Vian. "Je ne voudrais pas creuver"

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